
Le secteur ferroviaire en Afrique peine à se mettre sur de bons rails. On constate notamment peu d’infrastructures dans ce domaine. La raison est la résultante d’un manque criard d’investisseurs dans le secteur. L’exploitation de la voie ferrée demeure dès lors le domaine où les entrepreneurs africains investissent le moins. Mais cela est dû en grande partie à la chereté du fer ainsi qu’à son exploitation. C’est sans doute la raison pour laquelle le goupe Bolloré; l’un des plus puissants du continent, souhaite venir en sauvetage à ce secteur laissé-pour-compte.
Le groupe l’a fait savoir au cours d’un forum, organisé en visioconférence, le 28 Septembre dernier. Le but, a laissé entendre le groupe, est de »poumovoir la voie ferrée et les transports publics, comme la forme la plus verte de transport à grande échelle et sa capacité à aider à transformer les villes africaines. » C’est d’ailleurs dans cette optique que les activités des filliales africaines; telles que la Cameroon railways (CAMRAIL) et la société internationale de transport africain par rail (SITARAIL), entre autres, ont été très nettement multipliées et améliorées au cours de ces dernières années.
Pour le groupe Bolloré, inverstir dans le secteur ferroviaire c’est en même temps répondre aux défis des objectifs de développement durable (ODD). Ce projet vient ainsi »faciliter la connectivité entre les grandes villes en particulier. » Pour y parvenir, un partanariat prochain a été annoncé entre le groupe Bolloré et l’Union Internationale des Chemins (UIC).
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